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musique sacrée-liturgique catholique en langue beti/fang (afrique centrale) 001 – brief biography 7 septembre, 2011 posté dans anglophones brief biography ambomo joseph marie, was born on february 19th, 1956 in efok, a small village located 40 km northwest of yaounde. oldest child of the marriage between the catholic diocesan school teacher ayissi abdon 1936-1983 and the housewife embgala marie louise. he is the eldest of 11 children of whom 9 are alive today. so, he grew up in a deeply religious family. the stages of primary and secondary schooling were conducted by the christian schools brothers and marist school, « saint charles », “juan xxiii institute” both in efok, and the bullier marist institute in nkolmebanga-saa. engaged, from early childhood ministry activities, is no stranger to his contemporaries in efok. ——————————————————————————————————————————————————————————- separata: publicité agressive á notre blog ce blog est un espace personnel issu exclusivement de notre expérience de croyant catholique. toute publication dans ce blog, même sous forme publicitaire, agressive à notre sensibilité religieuse, est donc un attentat a notre liberté religieuse. « jésus est-il dieu? »,.. « the word to come tv », . »the real truth magazine ».. et d’autres du genre, ne sont donc pas consentis par le créateur de ce blog. ——————————————————————————————————————- (lire la suite) commentaires(1) -- sorpresa, sorpresa 11 décembre, 2015 posté dans x commentaires(0) -- 001- breve biografía 7 septembre, 2011 posté dans espagnols breve biografía ambomo joseph marie, nació el 19 de febrero 1956 en efok, un pequeño pueblo a 40 km al noroeste de yaoundé. hijo mayor del matrimonio católico entre el maestro de escuelas diocesanas ayissi abdón 1936-1983 y el ama de casa embgala maría luisa. él es el mayor de 11 hijos de los cuales 9 están vivos hoy. se crió en una familia profundamente religiosa. dato: la instrucción catequética católica, la recibió por »los cuatro costados »: 1º) en su pueblo natal efok, todos los días lectivos antes de ir a la escuela, a las 4 h de la madrugada, con el « canto del gallo » y el toque del « nkul dokten » (alerta del tam-tam para acudir a la catequesis y prácticas devocionales matinales). esta misma práctica se repetía durante el verano, cuando iban los nietos a casa de la abuela justine essengue kumna. ella, considerada la « apóstol » de la familia, se encargaba de que todos sus nietos acudiesen a la catequesis matutina de las madrugadas también en el pueblo de yemsoa. 2º) en la escuela todas los días había una hora de clase de religión. además de las prácticas devocionales (a las 12 h, tocaba la campanilla: se paraban todas las clases y se recitaba el « ángelus » por ejemplo). 3º) en el movimiento de la aci de la que hablaremos más adelante, las catequesis eran más divertidas. los niños tratados con sumo mimo y concientizados de que estaban llamados a ser protagonistas de un mundo más justo y hombres y mujeres íntegros . 4º) en la parroquia , para recibir los sacramentos de la iniciación cristiana (el bautismo, lo recibió de bebé), la confirmación y la 1ª comunión, había que acudir a la correspondiente catequesis parroquial y aprobar un examen sobre tres de las cientos de preguntas del catecismo. las etapas de su escolarización primaria y secundaria fueron dirigidas por los hermanos de las escuelas cristianas de san juan bautista de la salle y los maristas de san marcelino de champagna, en la escuela “saint charles”, el instituto juan xxiii ambos de efok; y el instituto marista “bullier de nkolmebanga-saa” respectivamente. comprometido, desde su más temprana infancia con actividades de apostolado, no es un desconocido de sus contemporáneos en efok. (lire la suite) commentaires(0) -- 001-résumé biographique 6 septembre, 2011 posté dans anglophones , espagnols , francophones , x brève revue biographique joseph marie ambomo, est né le 19 février 1956 à efok; un petit village 40 kms au nord ouest de yaoundé. fils aîné du mariage de l’instituteur d’ecoles privées catholiques ayissi abdon 1936-1983 et de la ménagère embgala marie louise. il est l’aîné d’une famille de 11 enfants dont 9 sont vivants actuellement. il a grandi au sein d’une famille profondément religieuse. ses études primaires, et secondaires furent dirigées par les frères de la salle d’une part (école saint charles ; collège jean xxiii d’efok) et les frères maristes du collège bullier (nkolmebanga-saa) d’autre part. son engagement, dès les années d’enfance, dans des activités d’apostolat diverses ne seront donc pas une surprise pour les habitants d’efok. responsable diocésain de l’action catholique de l’enfance une vie simple d’adhésion et d’infatigable collaboration avec l’eglise universelle dans le domaine de l’apostolat laïc: entre 1966-1970 membre de l’action catholique de l’enfance (ace-cœurs vaillants/ames vaillantes cv/av) de la paroisse sainte anne d’efok sous la direction des novices des frères des ecoles chrétiennes de saint jean baptiste de la salle. 1970 il est promotionné pour l’équipe d’animateurs cv/av tels que ses grands amis joseph noah et alexis onómó, dans divers postes centraux de la paroisse. 1971 membre de l’équipe diocésaine de l’ace, étant aumôniers le frère zaïrois louis lokoumo et marie françoise, soeur du saint esprit. 1972-1976 il prend part active dans toutes les sessions de formation et de programmation annuelles de l’ace, organisées au niveau national. en juillet 1974, il assiste comme observateur au congrès du mouvement international d’apostolat de l’enfance (midade) célébré à yaoundé. cette même année, il fonde un groupe de travail nommé cop’monde : copains du monde) pour la formation des jeunes animateurs des cv/av. en session nationale ordinaire, le mouvement entame un processus d’adaptation á la réalité camerounaise, sans toutefois perdre la dimension universelle de l’eglise; joseph propose « cop’monde » pour nouvelle désignation de l’ace au cameroun en remplacement de cv/av. suggestion acceptée presque par unanimité: « allez-y, copains, par le monde entier et témoignez par vos actes l’evangile de jésus christ! ». tel était le slogan primitif du « cop’ monde au collège jean xxlll d’efok». formation musicale : une mention spéciale à la formation musicale reçue au collège, notamment de ses professeurs ekani michel et l’abbé joseph obama (alors diacre); j. m. ambomo fut membre de la fanfare du collège jean xxlll, et de la chorale paroissiale d’efok, qui pourrait être considérée comme la base par excellence de son initiation comme chantre, musicien liturgique postconciliaire, et plus tard auteur compositeur de musique sacrée en langues beti (ewondo, bulu, fang: ntumu, okak). en 1975 il dirige la chorale de la paroisse de nkolmebanga y celle de l’eglise d’ambam au sud du pays où il commence à composer ses premiers cantiques liturgiques du répertoire «oyenga nyebe». un an avant de partir en guinée equatoriale. ambam est la ville camerounaise limitrophe à oyem (gabon) et ebibeyín (guinée equatoriale), trois régions séparées par l’histoire coloniale, cependant soudées du lien sanguin et culturel du peuple beti. entre 1968 et 1979, la guinée equatoriale souffre une tyrannie politique qui paralyse l’économie, la vie sociale, la croissance des valeurs et l’activité de son eglise gravement blessée, au point de rester en marge des bénédictions et avantages spirituelles dérivés du concile vatican ll. plusieurs ressortissants équato-guinéens sont exilés au gabon et au cameroun, parmi lesquels, le séminariste jean de dieu, et m. elisée akieme que j.m. ambomo connait á ambam. 1978, l’eglise connaît la perte en un mois des papes paul vl et jean paul l, puis fut élu le très saint père jean paul ll. les origines du répertoire « oyenga nyebe » en 1980, l’eglise equato-guinéenne souffrait encore l’absence de son pasteur, mgr. rafael maría nze abuy (evêque de bata et administrateur apostolique de malabo), réfugié en espagne, à cause d’une répression politique a